Établissement Public du Château, du Musée et du Domaine National de Versailles

3 offres d’emploi

Qui sommes-nous ?

Le Château de Versailles emploie près de 900 agents sur emplois permanents et 200 agents sur emplois non permanents pour des besoins occasionnels ou saisonniers. Ils participent tous aux missions de l’établissement public :

  • les agents accueillent et informent plusieurs millions de visiteurs français et étrangers ;
  • les jardiniers et les fontainiers d’art mettent en valeur les 800 hectares que couvrent les jardins de Versailles, ceux de Trianon, le parc de Versailles et le domaine de Marly ;
  • les conservateurs et les restaurateurs d’art (doreurs, ébénistes, tapissiers…) étudient, conservent et restaurent les 60000 œuvres des collections ;
  • les conducteurs de travaux coordonnent les chantiers de restauration du château de Versailles, des châteaux du Grand et du Petit Trianon, de la Grande et de la Petite Écuries et des nombreux autres bâtiments du domaine ;
  • les métiers de la médiation culturelle ou de la communication transmettent la connaissance à un public d’âge et de provenance variés.

Chiffres clés

1022

emplois au budget en 2022

29000

mètre carré d'espaces muséographiques dépoussiérés chaque année

46 Millions d'euros

dépensés pour entretenir et restaurer les bâtiments, les jardins et les collections en 2020

157 Millions d'euros

budget en 2022

Nous découvrir en images

Doreur - Atelier d'art de Versailles

Doreur - Atelier d'art de Versailles

Alors ici, on va restaurer essentiellement des objets d’art du château comme cette table de milieu sur du mobilier Louis XIV.
On va travailler aussi sur des objets Louis XV, Louis XVI, ça va jusqu’à l’Empire, Louis-Philippe… C’est très diversifié.
En ce moment, à l’atelier, on a un ensemble de 6 chaises qui vont dans le bureau d’angle du roi. Elles font partie d’un ensemble de 24 chaises faites par Foliot en 1774.
LES MÉTIERS DE VERSAILLES : LES DOREURS
THE CRAFTS OF VERSAILLES : GILDERS
Céline BLONDEL, Responsable d’atelier dorure (Gilding Workshop Gilder) : On commence par dégraisser le bois pour enlever éventuellement les petites bêtes en surface et le gras.On dégraisse avec de l’alcali mélangé à de l’eau.
Laura-Jean TRIOLET, Doreuse (Gilder) : On réalise au nettoyage l’étendue du travail à faire sur l’objet. Parfois il est plus abîmé que ce qu’on pensait, ou que finalement il y a très peu de dorures sous la poussière.Il y a beaucoup de soulèvements, d’éclats.
Céline BLONDEL : Ensuite on va passer un encollage, donc c’est une colle de peau pure. Ça crée une interface collante entre le bois brut et les apprêts ensuite.On travaille avec la chaleur de nos mains et à la salive.Ça permet de reboucher toutes les lacunes du bois.Sans la salive, le rebouchage ne tiendrait pas.
Laura-Jean TRIOLET : Quand les rebouchages sont secs, on ponce au papier de verre et on les répare si besoin dans les parties sculptées et ornées.
Céline BLONDEL :La reparure, ça va être de révéler la sculpture qu’il y a sous les apprêts, d’affiner le dessin de la sculpture. On commence par détourer les ornements, puis on recrée des galbes, des nervures dans les fleurs et les feuilles pour recréer des détails dans l’épaisseur de nos blancs et non dans le bois.
Laura-Jean TRIOLET :On répare avec des fers à réparer qui sont un peu comme des gouges de sculpteur mais affutés dans le sens inverse, donc on tire le fer vers nous alors que le sculpteur va pousser sa gouge pour enlever de la matière.
Céline BLONDEL : Ensuite, c’est le passage du jaune d’encollage qui est un mélange d’ocre jaune, d’eau et de colle de peau de lapin.
Eugénie SCHERRER, Apprentie doreuse (Apprentice Gilder) On va passer sur toute la surface. Surtout dans les creux, car quand on posera de la feuille d’or, en cas de déchirure ou de manque dans la feuille, ça apparaîtra jaune et ça ne choquera pas l’œil, on ne verra pas le blanc.Traditionnellement, c’est l’ocre qu’on utilise, ce pigment-là, pour imiter la couleur de l’or.
Céline BLONDEL : L’étape suivante s’appelle la pose de l’assiette. L’assiette est un produit fait avec de l’argile, donc c’est de la terre mélangée avec un petit peu d’huile, avec de la sanguine pour lui donner sa couleur rouge. Il existe aussi de l’assiette noire et de la jaune, ce qui permet de faire des mélanges pour se rapprocher au maximum du ton de l’assiette sur le mobilier.
Eugénie SCHERRER : On passe 3 couches d’assiette, car on fait des couches très fines.L’assiette fonctionne comme un coussin, une assise, comme ça, quand on pose la feuille d’or et qu’on écrase avec la pierre d’agate, on a suffisamment de moelleux. Et sa couleur rouge, aussi, permet de réchauffer vraiment la couleur de l’or car les feuilles d’or sont très fines donc un petit peu transparentes.
Céline BLONDEL : En dorure, on dit toujours qu’on couche l’assiette, on ne peint pas, car il faut avoir un pinceau très couché pour ne pas voir les différences d’épaisseurs.Après séchage, cette assiette va être chiennée ou légèrement poncée, toujours pour enlever les accidents éventuels. Là, je suis en train de chienner l’assiette pour la lustrer et enlever… des petits grains qui resteraient dans l’argile de l’assiette.
La dorure, c’est une dorure à la détrempe qui nécessite beaucoup d’eau pour réactiver la colle qu’il y a dans l’assiette. On vient poser la feuille d’or. Elle est happée par l’eau et on vient appuyer avec l’appuyeux qui sert à évacuer l’eau qui est encore en-dessous et les éventuelles bulles d’air qui remonteraient à la surface.
On passe souvent l’appuyeux sur la joue pour voir s’il n’est pas mouillé et éviter les gouttelettes sur l’or, car sinon l’or serait taché et on n’aurait pas de brillant ensuite. On dit que le doreur dore le matin et brunit l’après-midi puisqu’il faut un laps de temps, ni trop, ni trop peu, pour que tous les apprêts en-dessous soient encore tendres pour avoir un beau bruni. S’ils sont trop secs, on va rayer l’or avec la pierre d’agate. La pierre d’agate, on l’utilise en frottant l’or, en appuyant légèrement, et ça fait briller l’or.
Sur une dorure française, on a toujours une alternance de bruni et de mat. L’alternance de bruni et de mat permet à l’œil de lire les moulures et de lire les différents niveaux.
L’étape finale, c’est la patine.On va venir user les bords. On dit « fondre l’or » sur les bords. Et là, en l’occurrence, je vais utiliser un pinceau un peu ferme et ma salive.
Ensuite, on va utiliser des fushines, des aquarelles ou de la gouache, pour pouvoir colorer l’or, lui donner le ton recherché et la matière.
Depuis 6 ans, nous accueillons des apprentis à l’atelier. C’est important pour nous de transmettre le métier à des jeunes pour perpétuer le métier, pour garder le savoir-faire
Eugénie SCHERRER : Je suis tombée amoureuse des gestes en faisant des stages en dorure. Le fait de venir graver dans la matière, le fait de modeler. Le blanc, c’est une matière magique. Avant même de travailler la feuille d’or, c’était les matières et les gestes qui me plaisaient.
Céline BLONDEL : Le métier de doreur nécessite qu’on soit très précis dans ses gestes. Ce sont des gestes très mesurés dans la puissance et dans la précision. Il y a le détail, il y a la patience, mais aussi le dynamisme et plus d’engagement physique quand on ponce de grandes surfaces. Et puis parfois, c’est beaucoup plus posé,c’est presque comme une méditation : la pose de la feuille d’or, les brunis…Ce sont presque des moments complètement zen.

Doreur - Atelier d'art de Versailles

Doreur - Atelier d'art de Versailles

Alors ici, on va restaurer essentiellement des objets d’art du château comme cette table de milieu sur du mobilier Louis XIV.
On va travailler aussi sur des objets Louis XV, Louis XVI, ça va jusqu’à l’Empire, Louis-Philippe… C’est très diversifié.
En ce moment, à l’atelier, on a un ensemble de 6 chaises qui vont dans le bureau d’angle du roi. Elles font partie d’un ensemble de 24 chaises faites par Foliot en 1774.
LES MÉTIERS DE VERSAILLES : LES DOREURS
THE CRAFTS OF VERSAILLES : GILDERS
Céline BLONDEL, Responsable d’atelier dorure (Gilding Workshop Gilder) : On commence par dégraisser le bois pour enlever éventuellement les petites bêtes en surface et le gras.On dégraisse avec de l’alcali mélangé à de l’eau.
Laura-Jean TRIOLET, Doreuse (Gilder) : On réalise au nettoyage l’étendue du travail à faire sur l’objet. Parfois il est plus abîmé que ce qu’on pensait, ou que finalement il y a très peu de dorures sous la poussière.Il y a beaucoup de soulèvements, d’éclats.
Céline BLONDEL : Ensuite on va passer un encollage, donc c’est une colle de peau pure. Ça crée une interface collante entre le bois brut et les apprêts ensuite.On travaille avec la chaleur de nos mains et à la salive.Ça permet de reboucher toutes les lacunes du bois.Sans la salive, le rebouchage ne tiendrait pas.
Laura-Jean TRIOLET : Quand les rebouchages sont secs, on ponce au papier de verre et on les répare si besoin dans les parties sculptées et ornées.
Céline BLONDEL :La reparure, ça va être de révéler la sculpture qu’il y a sous les apprêts, d’affiner le dessin de la sculpture. On commence par détourer les ornements, puis on recrée des galbes, des nervures dans les fleurs et les feuilles pour recréer des détails dans l’épaisseur de nos blancs et non dans le bois.
Laura-Jean TRIOLET :On répare avec des fers à réparer qui sont un peu comme des gouges de sculpteur mais affutés dans le sens inverse, donc on tire le fer vers nous alors que le sculpteur va pousser sa gouge pour enlever de la matière.
Céline BLONDEL : Ensuite, c’est le passage du jaune d’encollage qui est un mélange d’ocre jaune, d’eau et de colle de peau de lapin.
Eugénie SCHERRER, Apprentie doreuse (Apprentice Gilder) On va passer sur toute la surface. Surtout dans les creux, car quand on posera de la feuille d’or, en cas de déchirure ou de manque dans la feuille, ça apparaîtra jaune et ça ne choquera pas l’œil, on ne verra pas le blanc.Traditionnellement, c’est l’ocre qu’on utilise, ce pigment-là, pour imiter la couleur de l’or.
Céline BLONDEL : L’étape suivante s’appelle la pose de l’assiette. L’assiette est un produit fait avec de l’argile, donc c’est de la terre mélangée avec un petit peu d’huile, avec de la sanguine pour lui donner sa couleur rouge. Il existe aussi de l’assiette noire et de la jaune, ce qui permet de faire des mélanges pour se rapprocher au maximum du ton de l’assiette sur le mobilier.
Eugénie SCHERRER : On passe 3 couches d’assiette, car on fait des couches très fines.L’assiette fonctionne comme un coussin, une assise, comme ça, quand on pose la feuille d’or et qu’on écrase avec la pierre d’agate, on a suffisamment de moelleux. Et sa couleur rouge, aussi, permet de réchauffer vraiment la couleur de l’or car les feuilles d’or sont très fines donc un petit peu transparentes.
Céline BLONDEL : En dorure, on dit toujours qu’on couche l’assiette, on ne peint pas, car il faut avoir un pinceau très couché pour ne pas voir les différences d’épaisseurs.Après séchage, cette assiette va être chiennée ou légèrement poncée, toujours pour enlever les accidents éventuels. Là, je suis en train de chienner l’assiette pour la lustrer et enlever… des petits grains qui resteraient dans l’argile de l’assiette.
La dorure, c’est une dorure à la détrempe qui nécessite beaucoup d’eau pour réactiver la colle qu’il y a dans l’assiette. On vient poser la feuille d’or. Elle est happée par l’eau et on vient appuyer avec l’appuyeux qui sert à évacuer l’eau qui est encore en-dessous et les éventuelles bulles d’air qui remonteraient à la surface.
On passe souvent l’appuyeux sur la joue pour voir s’il n’est pas mouillé et éviter les gouttelettes sur l’or, car sinon l’or serait taché et on n’aurait pas de brillant ensuite. On dit que le doreur dore le matin et brunit l’après-midi puisqu’il faut un laps de temps, ni trop, ni trop peu, pour que tous les apprêts en-dessous soient encore tendres pour avoir un beau bruni. S’ils sont trop secs, on va rayer l’or avec la pierre d’agate. La pierre d’agate, on l’utilise en frottant l’or, en appuyant légèrement, et ça fait briller l’or.
Sur une dorure française, on a toujours une alternance de bruni et de mat. L’alternance de bruni et de mat permet à l’œil de lire les moulures et de lire les différents niveaux.
L’étape finale, c’est la patine.On va venir user les bords. On dit « fondre l’or » sur les bords. Et là, en l’occurrence, je vais utiliser un pinceau un peu ferme et ma salive.
Ensuite, on va utiliser des fushines, des aquarelles ou de la gouache, pour pouvoir colorer l’or, lui donner le ton recherché et la matière.
Depuis 6 ans, nous accueillons des apprentis à l’atelier. C’est important pour nous de transmettre le métier à des jeunes pour perpétuer le métier, pour garder le savoir-faire
Eugénie SCHERRER : Je suis tombée amoureuse des gestes en faisant des stages en dorure. Le fait de venir graver dans la matière, le fait de modeler. Le blanc, c’est une matière magique. Avant même de travailler la feuille d’or, c’était les matières et les gestes qui me plaisaient.
Céline BLONDEL : Le métier de doreur nécessite qu’on soit très précis dans ses gestes. Ce sont des gestes très mesurés dans la puissance et dans la précision. Il y a le détail, il y a la patience, mais aussi le dynamisme et plus d’engagement physique quand on ponce de grandes surfaces. Et puis parfois, c’est beaucoup plus posé,c’est presque comme une méditation : la pose de la feuille d’or, les brunis…Ce sont presque des moments complètement zen.

Un jour à Versailles

Un jour à Versailles

Cette vidéo ne comporte aucune parole.

Il s’agit d’une vidéo d’illustration : Une journée à Versailles en images du lever au coucher du soleil.

 

Les Métiers d'art de Versailles - Jardinier

Les Métiers d'art de Versailles - Jardinier

Le Château de Versailles présente les Métiers d’art de Versailles

Jardinier

[Musique]

Préparation du parterre

[Musique]

Taille de Topiaire

[Musique]

Production florale

[Musique]

Rencaissage des orangers

[Musique]

Plus d’informations sur notre site internet

 

Nos atouts

Une rémunération soutenue par une action sociale engagée

Carrière et rémunération

Les contractuels de l’établissement voient leur carrière et leur rémunération encadrées par un cadre de gestion incluant plusieurs grilles salariales à l’image de celles des corps de fonctionnaires. Ce cadre leur permet une évolution régulière et lisible de leur rémunération en limitant les risques de plafonnement. Par ailleurs, le cadre prévoit la possibilité de verser une part variable en fonction de la manière de servir.

Les fonctionnaires ont un déroulement de carrière statutaire auquel s’ajoute un dispositif indemnitaire annuel au mérite.

Action sociale

L’établissement participe activement à améliorer le quotidien des agents au-delà de leur activité professionnelle. Ainsi,

  • il participe au financement d’une offre de complémentaire santé et de prévoyance en plus du remboursement forfaitaire proposé à tous les agents publics ;
  • il finance des places en crèche pour les enfants des agents ;
  • il propose des tickets-restaurants ou des prix sociaux au sein de restaurants d’autres administrations ;
  • il a mis en place le forfait mobilités durables ;
  • il dispose de 150 logements présents sur le Domaine dont certains agents peuvent bénéficier soit en raison de leurs fonctions, soit à prix modéré selon des critères sociaux ;
  • il dote de nombreux agents de vêtements professionnels de qualité en lien avec la nature de leur poste,
  • il soutient la vie culturelle des agents au moyen d’aides dédiées, du soutien à l’association du personnel et de la délivrance de la carte Culture qui permet l’accès gratuit à de nombreux musées et monuments.

Une politique de promotion de la diversité et de l'égalité professionnelle

Diversité

L’établissement mène une politique active pour favoriser l’intégration et le maintien en emploi d’agents en situation de handicap. Le partenariat entre l’établissement et le Fonds d’insertion des personnes en situation de handicap dans la fonction publique (FIPHFP) en est un levier essentiel. L’établissement réalise notamment des accompagnements individuels avec des aménagements de poste et des formations de sensibilisation au handicap ou à la langue des signes. Fin 2020, 9,22% des agents étaient reconnus travailleur handicapé.

L’établissement est également engagé, en relais du ministère de la Culture, en faveur de la promotion de la diversité et de la prévention des discriminations, notamment dans le cadre de ses recrutements.

Égalité

51% des agents de l’établissement sont des femmes. Les encadrants de l’établissement ont été sensibilisés à l’égalité professionnelle dans le cadre de leur offre de formation dédiée et l’établissement participe au plan d’action du ministère de la Culture visant à former l’ensemble des agents à la lutte contre les violences sexuelles et sexistes. Un plan d’actions Égalité professionnelle 2022- 2025 est en cours de négociation.

Une formation professionnelle soutenant le développement des compétences et la mobilité des agents

L’établissement s’engage pleinement dans la formation de ses agents. Celle-ci permet d’accompagner les évolutions professionnelles, développe la qualité dans la tenue des postes, accompagne l’évolution des métiers et favorise le développement des compétences et de la professionnalisation des agents.

L’investissement formation est soutenu, réaffirmé chaque année au budget de l’établissement. Il concerne près de 600 agents par an sur des thématiques métiers spécifiques, l’adaptation à de nouveaux outils de travail ou le développement de nouvelles compétences (cours d’anglais ou de mandarin par exemple pour les agents d’accueil).

Une offre de formation et un espace de discussion dédiés aux encadrants, « l’Académie des cadres » permet à ceux-ci à la fois de se former sur les sujets qui sont propres à leur métier mais aussi de se retrouver pour échanger sur des sujets communs afin de partager leur expérience et leurs interrogations, notamment managériales.

Un environnement de travail de qualité et l'ouverture au télétravail

L’environnement de travail

Depuis 2015, la majorité des services de l’établissement sont regroupés au sein du Grand Commun, aménagé spécifiquement à cet effet. Outre des bureaux, il accueille des vestiaires et des douches pour le personnel ainsi que des espaces de restauration et de repos. L’association du personnel y organise régulièrement la venue de « food trucks » variés sur l’heure du déjeuner.

De nombreux agents effectuent par ailleurs tout ou partie de leurs missions directement dans les châteaux, les jardins ou le Parc. Des vélos électriques sont mis à disposition des agents en journée pour agrémenter leurs trajets sur le Domaine.

Le télétravail

Les agents de l’établissement dont les missions le permettent peuvent télétravailler jusqu’à trois jours par semaine. Ils peuvent bénéficier de jours fixes dans la semaine ou le mois, de jours flexibles qu’ils peuvent utiliser en fonction de leurs besoins et de ceux de leur service ou combiner les deux modalités. Début 2022, près de 300 agents ont demandé à pouvoir télétravailler et sont dotés du matériel adéquat.

Un cadre de vie exceptionnel à proximité de Paris

Un lieu très accessible

Le château de Versailles se trouve entre 10 et 20 minutes à pied (5 à 10 minutes à vélo) des 3 gares principales de Versailles. Celles-ci permettent de rejoindre Paris, notamment Montparnasse en 12 minutes, Mantes-la-Jolie au nord, mais aussi le sud de l’Île-de-France avec le RER C ou la région Centre-Val-de-Loire vers Chartres et Dreux en TER.

Un important réseau de bus dessert toute l’agglomération versaillaise et les villes les plus proches sont facilement accessibles en vélo grâce à l’important réseau de pistes cyclables.

En voiture, 3 autoroutes desservent la Ville et permettent un accès aisé depuis la majeure partie de l’île de France et les départements limitrophes.

Une agglomération avec des services de qualité et proche de la nature

La ville de Versailles présente un héritage architectural contemporain de celui du Château qui participe de son caractère exceptionnel. Elle bénéficie de plus de 1300 commerces dont un marché renommé très renommé. Ouverte aux familles, la Ville accueille une offre péri-scolaire et scolaire importante et de qualité ainsi qu’une vie culturelle importante au-delà du Château.

Outre le parc du Château, la nature semble toujours à proximité de Versailles et des villes de l’agglomération avec la présence de plusieurs forêts en bordure des villes et de la plaine de Versailles, préservée de toute construction, dans le prolongement du Parc.

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